Etudes, Recherches et Evaluations
Depuis de nombreuses années, le cabinet PENNEC ETUDES CONSEILS a construit et développé des expertises dans la conduite de missions d’étude, d’évaluation et recherche-action en lien avec ses domaines de prédilection que sont les politiques publiques de l’emploi et de la formation, les politiques publiques transversales (ville, insertion, prévention) et sociales, le développement local et durable, les dynamiques territoriales de réseau ainsi que des études sur l’aménagement du temps de travail, l’organisation des ressources humaines, l’innovation sociale…
A titre d’illustrations et très loin de l’exhaustivité, on peut songer…
– A l’étude nationale sur les réserves naturelles régionales pour Réserves Naturelles de France, afin d’évaluer les effets de dix ans de décentralisation.
– A l’étude régionale sur les jeunes et la métallurgie (Région Bretagne, DIRECCTE, UIM), qui s’est appuyée sur de nombreuses auditions d’employeurs, sur l’analyse statistique de 2 337 jeunes inscrits en Mission locale, sur un questionnaire adressé à 823 jeunes…
– Aux évaluations pour le Fonds d’Expérimentation pour la Jeunesse (insertion des jeunes vulnérables en Martinique et à La Réunion, mobilisation de jeunes pour la valorisation du patrimoine martiniquais avec FACE)…
– Aux évaluations internes et externes réalisées dans près d’une centaine d’ESSMS relevant des secteurs de la Protection de l’Enfance (MECS, AEMO, Prévention spécialisée, Placement Familial Spécialisé…), des personnes Agées (EHPA, EHPAD, FAM, MAS…) ou des personnes en situation de handicap (ESAT, Foyer de Vie, SAVS…)
– A la recherche-action « nouveaux temps, nouvelles pratiques » réalisée avec les élus de Comité d’Entreprise d’une cinquantaine d’entreprises de Bretagne et de Pays de Loire et les associations inter-CE de ces deux régions.
– A l’étude d’organisation des deux services « MSA métiers du sport et de l’animation » et – « MPTS métiers paramédicaux et travail social » pour la DRJSCS de Rhône-Alpes.
– A l’étude IRES « Réduire le temps de travail : un levier pour créer de l’emploi ? » bien avant les lois dites « Aubry » généralisant les 35 heures.
Toutes ces missions d’étude, d’évaluation ou de recherche-action, combinant méthodes quantitatives et qualitatives, aux thématiques pourtant bien différentes, présentent des convergences, en particulier en termes de posture et de méthodologie.
En terme de posture… nous nous fondons sur le principe que les ressources préexistent au sein des organisations et que ce sont bien elles qui permettront d’évoluer vers un meilleur service aux usagers indissociable de meilleurs conditions de travail : mieux travailler et mieux travailler ensemble. La « GRH » devrait s’appeler « GHRH » : gestion humaine des ressources humaines.
En terme de méthodologie… ce principe, qui est celui de l’éducation populaire et permanente, invite à ce que nous nous situions dans une dynamique bottom up, ascendante et participative : comme le dit Edgar Morin, « les conditions d’atteinte des objectifs comptent tout autant que l’atteinte de ces objectifs »… et, dès lors que ces conditions favorisent l’autonomie des acteurs, qu’elles stimulent l’intelligence partagée, elles constituent des garanties pour que le changement soit durable : rien de pire qu’une démarche se soldant par un « effet soufflé » qui constitue une mémoire de l’échec et rend de plus en plus difficile l’évolution des acteurs et de leurs organisations !
Enfin notre « façon de faire », plus artisanale qu’industrielle, aux antipodes d’un « livrable » en power point, n’oppose pas la nécessaire robustesse d’un étayage théorique, alimenté en continu par l’implication des consultants du cabinet dans des laboratoires de recherche, dans l’enseignement universitaire mais également dans des responsabilités associatives, et le caractère opérationnel de nos recommandations : plus en amont les objectifs et la problématique auront été solidement travaillés et univocisés, plus en aval la mise en œuvre se révèlera sinon facile du moins faisable. L’idée maîtresse, ici, est celle de l’utilité et pourrait se résumer par le précepte cartésien auquel nous souscrivons : « C’est proprement ne valoir rien que de n’être utile à personne »…